Madame, Monsieur,
Je vous remercie une nouvelle fois de votre générosité pour notre diocèse, pour votre paroisse. Vos dons permettent à l’Église de poursuivre sa mission ; vous contribuez à assurer un traitement aux prêtres et un salaire aux laïcs au service de la mission.
Dans une situation économique rendue difficile par l’inflation, qui touche chacun, vos dons sont essentiels, à la mesure de vos moyens.
Vous le savez sans doute, la moyenne d’âge des donateurs est très élevée.
Certainement que la transmission de la pratique du denier de l’Église a du mal à se faire auprès de générations plus jeunes, comme d’ailleurs l’ensemble de la transmission.
Puis-je vous demander une chose ?
Pensez à parler du denier à vos enfants, à vos petits-enfants. Éclairez-les sur les ressources de l’Église catholique : elle ne vit que de dons, elle ne reçoit rien de l’État ni des collectivités publiques.
Ils peuvent vous demander combien il faut donner.
Bien entendu, ceci dépend de ses revenus, de ses charges, en particulier familiales.
Un chiffre peut convenir : 1% de ses ressources annuelles.
Et puis, même si on ne travaille pas encore, si on est aux études, pourquoi ne pas mettre en place un versement mensuel par prélèvement, de l’ordre de quelques euros ?
Vos dons sont absolument essentiels ; votre parole compte tout autant.
Je vous assure, Madame, Monsieur, de ma gratitude et de mon dévouement.
Mgr Pascal Wintzer
Archevêque du diocèse de Poitiers